GoStudent, la plateforme autrichienne de tutorat en ligne, vient d’intégrer le club très sélect des licornes européennes après avoir bouclé une Série C de 244 millions de dollars. Ce n’est pas la première licorne EdTech européenne, rappelons l’importance sur le marché du géant Kahoot! ! Nous en parlions d’ailleurs dans cet épisode de la Revue EdTech.
Cette opération d’envergure propulse GoStudent à la 1ère place parmi les EdTechs européennes en termes de valorisation. Pour consulter par ailleurs les plus grosses levées de fonds des EdTechs françaises en 2021, cliquez ici.
GoStudent, le géant européen du tutorat en ligne
La plateforme a su séduire nombre d’élèves du segment K-12 et leurs parents. Et pour cause, GoStudent dispose d’atouts non négligeables dans ce marché ultra-concurrentiel des cours particuliers en ligne.
GoStudent mise pour convaincre sur un accompagnement personnalisé, adapté aux besoins de chaque élève. Cela se traduit par le choix d’un tuteur et d’un programme pédagogique adaptés.
Pour les parents, la plateforme se veut très rassurante, et le suivi sans faille. GoStudent propose une expérience utilisateur optimisée grâce à différents moyens de paiement, la possibilité de décaler les cours, de changer de tuteur, etc. Les parents peuvent également suivre les progrès de leurs enfants dans les 14 matières proposées.
Une des (très) rares licornes EdTech européennes
Après une Série A de 13 millions de dollars en novembre dernier, puis une Série B de 70 millions en mars, GoStudent enchaîne les levées de fonds en bouclant une Série C à 244 millions de dollars début juin. Les principaux fonds impliqués dans cette série C sont DST Global (un géant américain : Byju’s, Alibaba, Airbnb, Deliveroo, Facebook…), ou encore Softbank (Vision Fund 2) (également présent dans unacademy ou Zhangmen).
Cette dernière levée de fonds propulse la startup à la première place européenne en termes de valorisation. De quoi ravir les ambitions de la startup qui se projette comme leader des digital schools dans le monde, selon un interview accordée à Techcrunch.
